Aliments vivants / Aliments morts
André Simoneton, spécialiste de
la vitalité des aliments, nous rappelle qu’en dehors du volume qu’ils
occupent dans l’estomac, et de l’impression de satiété que cela
occasionne, les aliments ont quelques vertus énergétiques qu’il ne faut
pas négliger, sous peine de tomber malade. Selon Simoneton, toute maladie se
développe à la faveur d’un terrain énergétique propice, c’est à dire
lorsque la vitalité de l’organisme a été dégradée par des aliments
manquant eux-mêmes de vitalité.
Ainsi, les conserves, représentant un
exemple typique d’aliments morts, malgré toutes les calories, protides,
glucides, lipides, et sels minéraux qu’elles peuvent contenir,
affaiblissent toujours les réserves énergétiques de l’individu qui les
consomme, et finissent, en quelque sorte, par le faire “ vibrer ” en harmonie avec certaines maladies. Les ondes du vivant Nous connaissons, bien sûr, les ondes
de la radio, longues de plusieurs mètres, celles de la lumière et de
ses différentes couleurs, et celles des éléments dits “ radioactifs ” dont la longueur d’onde est calculée en “ angströms ”, unité de mesure équivalent à un dix millionième de millimètre. Le vivant, d’après Simoneton,
n’échapperait pas à cette règle, et chaque organisme se caractériserait
par l’émission d’une certaine longueur d’onde spécifique qui, en
baissant, entraînerait dégénérescence, maladie et mort. (...) Mais, ce sont peut-être les aliments,
qui assurent, le plus ordinairement, le maintien ou l’appauvrissement
de notre énergie physique. Car les aliments, provenant
d’organismes vivants, sont eux aussi dotés d’une longueur d’onde
particulière qui ajoute ou retranche à la longueur d’onde de
l’organisme qui les absorbe. Simoneton utilise d’ailleurs volontiers le
terme de “ radiovitalité ” pour qualifier la radiation du vivant. Et, toujours selon Simoneton, la radiovitalité d’un organisme humain en bonne santé se situerait entre 6200 et 7000 angströms. (...) Classification des aliments Simoneton classe globalement les aliments en quatre catégories :
Ingénieur de formation, André Simoneton considère que tout, dans l’univers, émet des ondes.
Les aliments supérieurs dont la longueur d’onde dépasse celle de l’organisme, et qui, pour cette raison, ne peuvent que lui profiter. Ce sont, en général, les aliments les plus riches en vitamines et oligo-éléments ; aliments que l’on consommera donc en priorité si l’on veut conserver une bonne santé, voire en exclusivité en cas de maladie.
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Les aliments de soutien dont la fourchette de longueurs d’onde couvre un champ compris entre l’organisme sain et l’organisme malade. A condition de ne pas en abuser, surtout en cas de maladie, et de consommer, par ailleurs, suffisamment d’aliments supérieurs, ils peuvent encore contribuer à notre alimentation.
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Les aliments inférieurs qui vibrent en dessous du niveau de radiation d’un corps humain en vie. Ils sont généralement privés de la moindre vitamine, et ne doivent en aucun cas être donnés à un malade, ni même à toute personne souffrant du moindre trouble digestif, allergique ou autre.
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Les aliments mort qui n’émettent pas la moindre radiation de vie, et sont certainement responsables d’une majeure partie des maladies modernes, si ce n’est de la dégénérescence de la race humaine.
Dans l’approche de Simoneton, peu
d’aliments naturels et frais appartiennent aux classes inférieures. Pour lui, ce sont surtout les procédés de
transformation de l’aliment qui en altèrent la qualité énergétique.
Ainsi, la cuisson à l’eau dissipe la radiation des aliments ; la
fermentation, notamment des fromages, correspond à une “ cadavérisation ” du produit ; et la pomme de terre mangée un ou deux jours après sa cuisson n’a plus aucune vitalité... En fait, c’est le temps qui, plus que toute autre cuisine,
attaque l’intégrité énergétique de nos aliments. Le fruit, quelques
jours après avoir été cueilli, commence à décliner sur le plan
énergétique ; la farine, peu de temps après avoir été moulue, ne recèle
plus aucune ressource vibratoire ; le lait, au bout de son voyage qui
le conduit de la ferme à la laiterie parisienne, a tout perdu... Et s’il nous fallait résumer la morale
du système de Simoneton, sans doute devrions-nous dire qu’il nous faut
vite aller vivre à la campagne, et ne plus consommer que les produits
de notre jardin !